On the road again!

Corse

Les plages de Porto-Vecchio

Aujourd'hui, on quitte les alentours de Bastia pour rejoindre l'extrémité Sud de la Corse. La route entre les deux est ennuyeuse, une longue ligne droite ponctuée de rond-points, grandes surfaces et stations services. On est loin du charme des petites routes que l'on a connu jusque là. On en profite pour faire halte à proximité du Campoloro qui fût mon QA pendnant une semaine il y a ... 8 ans !

Finalement, après 2h30, on arrive à Porto-Vecchio. Ce n'est pas la ville qui nous interesse mais ses célèbres plages souvent citées comme les plus belles de France.

On commence par la plage de Palombaggia. Avec son sable doré, aux grains un peu plus gros que ce que l'on a chez nous, et surtout sa végétation et son eau transparente qui invite à la baignade. La plage est étroite, on trouve un coin de sable libre pour poser nos serviettes et on file à la mer !

L'eau semble chaude au départ mais on s'y sent vite au frais, on revient vite secher sur le sable.

Il est 13h30, on s'installe dans une paillotte pour manger quelques snacks.

Ensuite, on continue jusqu'à la baie de Rondinara. De nombreux bateaux y stationnent, dans une eau toujours cristaline mais un peu plus froide. La méduse que l'on croise nous pousse à faire demi tour plutôt qu'à se jeter à l'eau ! Mais on est pas mal là sur le sable fin, tout blanc, à profiter de la vue !

On rejoint ensuite Bonifacio où nous passerons la fin de notre séjour. Après une bonne douche, on part découvrir la haute ville. Les ruelles de la citadelle sont pleines de charmes. On s'installe pour la soirée sur une terrasse, avec la vue sur les célèbres falaises ainsi que la Sardaine dans la brume au loin. À coté de nous des gens jouent à la pétanque et un petit chien voudrait bien qu'on lui prête le cochonet, tandis qu'un musicien crée l'ambiance sonore en reprenant des classiques rock. Une vraie atmosphère de fin de vacances...

On achève cette belle journée dans un restaurant non loin, un chat est attiré par l'odeur de mon loup, on sympathise en lui partageant les restes de mon repas.